10 ANS

Pour voir ou revoir le live event du 6 novembre 2020, c'est juste au dessus !

Le teaser du film
réalisé par Alice Cagnat
produit par Merci, Merci !

La Soreqa,
10 ans après :
pari plus que tenu !

2010

Paris et Plaine Commune créent la Soreqa, outil public commun, pour maîtriser les conditions de requalification des immeubles ou îlots d’habitat indigne sur leur territoire.

2020

La qualité des projets livrés et l’entrée de la Métropole du Grand Paris au capital démontrent l’utilité et l’efficacité de la Soreqa pour apporter une réponse globale, sous l’égide des collectivités, aux problématiques complexes de l’habitat dégradé.

Créée en 2010 sous l’impulsion de deux collectivités, Paris et Plaine Commune, la Soreqa a pris en 10 ans une vraie dimension métropolitaine, avec l’entrée au capital de nouvelles collectivités (Est Ensemble, Montreuil, Nanterre puis Paris Ouest La Défense et enfin, la MGP en fin d’année 2019.

Avant la Soreqa, c’était un bailleur social parisien, la SIEMP, qui avait été chargé par le Maire de Paris, Bertrand Delanoë, de mener à partir de 2002 le vaste plan d’éradication des « 1030 immeubles »,
insalubres ou dangereux, repérés dans la capitale.

Aux prises avec l’afflux de marchands de sommeil dans le centre ancien de Saint-Denis, Plaine Commune décide de s’appuyer sur le savoir-faire parisien : c’est la naissance de la Soreqa, société publique locale d’aménagement créée en 2010 pour poursuivre la mission précédemment
assurée par la Siemp à Paris, et traiter l’habitat indigne dans le centre
ancien de Saint-Denis.

Peu à peu d’autres territoires se tournent vers la Soreqa pour requalifier des secteurs en proie à l’habitat indigne : Montreuil et Est Ensemble en 2012, Nanterre en 2014 remplacé depuis par Paris Ouest La Défense, et enfin la Métropole du Grand Paris en 2019.

Tous les actionnaires confient des opérations à la Soreqa, qui élargit son champ d’intervention avec au total depuis sa création, 349 adresses traitées ou à traiter, dans le cadre de 14 opérations d’aménagement.

Ses 10 premières années d’existence ont permis de conforter le positionnement de la Soreqa, à la fois dans sa spécialisation sur la lutte contre l’habitat indigne en première couronne et dans son étroite proximité avec les collectivités locales pour qui elle intervient.

La Soreqa s’est donné une vocation : le traitement global de l’habitat indigne, c’est-à-dire dont l’état de dégradation peut mettre en danger la sécurité ou la santé des occupants. Ses équipes, fortes aujourd’hui de 35 collaborateurs, travaillent aussi bien en appui aux propriétaires privés encore en capacité de réhabiliter leur bien, qu’en substitution aux propriétaires défaillants : c’est alors l’appropriation publique des immeubles, le relogement des occupants en vue de mener un projet de démolition-reconstruction ou de réhabilitation lourde.

L’objectif est de contribuer à la requalification des quartiers en remplaçant l’habitat dégradé par des logements renouvelés, dignes et adaptés aux besoins des territoires. Les interventions portent sur des sujets à la fois techniques, sociaux et urbains, dans des quartiers pour la plupart de type faubourien. Le quotidien de la Soreqa, c’est de venir traiter un immeuble ou un petit îlot, souvent en dent creuse, en tenant compte de l’existant, des voisins, pour s’inscrire en finesse dans le tissu urbain constitué.

Seul un lien très étroit avec les collectivités locales, compétentes à différents niveaux en matière de lutte contre l’habitat indigne, permet à la Soreqa d’agir de façon déterminée et efficace. L’appui des élus comme des services municipaux, territoriaux voire métropolitains sont essentiels pour réussir dans des missions complexes et très sensibles pour les habitants. Et seul un opérateur public permet aux collectivités de déléguer des prérogatives de puissance publique, de maîtriser à la fois les investissements publics et la programmation : quelle densité, quels logements, quels prix de sortie ?…

Au-delà de son impact opérationnel dans les quartiers, la Soreqa contribue à faire avancer les pratiques en matière de lutte contre les marchands de sommeil, qu’il s’agisse de la protection des occupants victimes (question prioritaire de constitutionnalité), ou des outils coercitifs à l’égard des propriétaires indélicats (premier jugement obtenu en septembre 2019, en application de la loi Elan).

Les opérations livrées aujourd’hui permettent aussi d’apprécier la contribution de la Soreqa dans la durée au niveau social, mais aussi urbain, sur les îlots ou sur les quartiers requalifiés.

Après 10 années d’existence, la Soreqa est en capacité de présenter un portfolio d’opérations livrées. Il faut entre 5 et 10 ans pour traiter un immeuble, selon la stratégie opérationnelle (suivi incitatif ou appropriation publique), la situation de départ (propriété plus ou moins complexe, occupation de l’immeuble, contraintes techniques) et les aléas opérationnels, y compris contentieux.

L’« avant/après »  fait ressortir la qualité d’insertion urbaine des opérations livrées, la finesse du travail sur l’insertion urbaine des projets, toujours travaillés en articulation avec les mitoyens, qu’elles soient inscrites en diffus comme c’est le cas à Paris, ou dans un projet de requalification de quartier comme c’est le cas à Saint-Denis. Sur les secteurs Brise-Echalas et Porte de Paris à Saint-Denis, la réfection des espaces publics engagée par Plaine Commune a fait l’objet d’un étroit travail de coordination avec la Soreqa, tout comme le projet d’intervention sur les commerces en pied d’immeubles.

A suivre très bientôt pour les opérations plus récentes, engagées depuis 2014 ou 2015, et qui donneront bientôt à voir le fruit d’années de travail de toutes les équipes de la Soreqa !

LES 50 OPERATIONS DES 10 DERNIERES ANNEES

LES DATES CLES

Le 6 mai 2020, la Soreqa fête ses 10 ans. L’ensemble de ses équipes vous donne rendez-vous tout au long de l’année !

> Consultez le communique de Presse

Entrée au capital de la Métropole du Grand Paris approuvée en Conseil d’Administration

Jugement historique obtenu par la Soreqa dans la lutte contre les marchands de sommeil

Signature de la charte de Paris pour le développement de projets d’occupation temporaire

Réunion publique de lancement du projet d’habitat participatif dans l’îlot Catherine Puig à Montreuil

Audition de la Soreqa à l’Assemblée Nationale : contribution aux travaux de la mission de lutte contre l’habitat indigne confiée par le Premier Ministre au député Guillaume Vuilletet

Première opération NPNRU lancée dans le quartier des Quatre-Chemins à Pantin

Signature de la charte économie circulaire avec la Ville de Paris

Réception en mairie du 18ème arrondissement d’anciens locataires du 40-44 rue Marx Dormoy, victimes d’un marchand de sommei

Livraison du 8 rue Labat (18ème) par la Soreqa, premier immeuble parisien : création de 9 logements sociaux

Inauguration du 14-16 rue Brise Echalas à Saint-Denis, premier immeuble livré de la Soreqa

Entrée au capital de la Ville de Nanterre approuvée en Conseil d’Administration

Signature du traité de concession concernant l’opération d’aménagement de la ZAC Fraternité à Montreuil

première cession de terrains du PNRQAD de Saint-Denis à Immobilière 3F en vue de la construction de 35 logements sociaux et d’une crèche (14-16 rue Brise Echalas).

Première démolition d’un immeuble à Paris en vue de la construction de 7 logements sociaux au 14 rue du Département, Paris 19ème

Entrée au capital d’Est Ensemble et de la Ville de Montreuil approuvée en Conseil d’Administration

Signature du traité de concession avec la communauté d’agglomération Plaine Commune concernant l’opération d’aménagement de deux secteurs à Saint-Denis, Brise Echalas et Résistance/Porte de Paris

Première acquisition à Paris : hôtel meublé au 179 rue Saint-Maur (Paris 10ème) sous arrêté de fermeture

Signature du premier traité de concession d’aménagement avec la Ville de Paris

Immatriculation de la société au RCS

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